La raison de cette attente est plutôt évidente. Et non, ce n'est pas en raison d'un possible retour au jeu, mais plutôt à cause de l'aspect financier.
En revanche, en regardant de plus près le pacte, il y a une solution afin de permettre à Price de rendre un dernier service au Canadien, tout en limitant le montant d'argent qu'il laisserait sur la table.
En effet, la grande majorité de l'argent encaissé par Price réside dans les bonis de signature. Or, au mois de septembre 2025, un dernier boni de 5,5 millions de dollars lui sera versé et il ne lui restera alors que 2 000 000 $ à toucher en salaire.