« Comme Don a dit, j'ai travaillé pendant cinq ans avec lui et c'est l'un des hommes pour qui j'ai le plus grand respect. Ce n'était pas une situation facile à Atlanta et Don a navigué là-dedans pendant de nombreuses années [...].
Et tout récemment, quand Waddell est arrivé, Pascal Vincent m'a appelé et voulait savoir comment Don fonctionnait. Je lui ai dit que si Don lui parlait au sujet d'avoir un consultant, s'il retenait ses services, il pouvait compter sur moi. J'ai beaucoup de respect pour Pascal et je connais beaucoup de joueurs à Columbus. Ça aurait été donc un mandat à temps partiel.
Tout ça nous amène à hier soir, où j'ai parlé avec un chum dans la LNH, et il m'a dit que peut-être Don ne le sait pas ça et que si je ne lui en parles pas, il ne le saura probablement jamais. Je ne veux pas travailler n'importe où ou avec n'importe qui, et il m'a dit que je devais peut-être lui envoyer un texto. J'ai réfléchi à ça et je lui ai dit que s'il avait besoin de moi dans n'importe quelle facette avec les Blue Jackets, en raison de notre amitié, je serais prêt à écouter. » - Bob Hartley